Compte-rendu de la réunion du jeudi 14 novembre 2013 18h, en mairie de Beynost : riverains de la rue des Barronnières et de l’avenue de la Gare, B.REYNAUD, M.NICOD (candidat aux élections municipales 2014 depuis juin 2013, candidat unique selon son interview dans Le Progrès), P.NIEL, C.PEREZ et Me MEUSY beynolan-avocat.
Publié : 22 novembre 2013 Classé dans : Uncategorized Poster un commentaireM.NICOD pointe les présents et les nouveaux par rapport au courrier transmis aux autorités et en RAR en mairie.
Un riverain, M.LOBO, indique, avec conviction, qu’il a appelé 42 fois la mairie au téléphone pour avoir un rendez-vous sans résultat et indique qu’il attend cette réunion depuis 3 ans.
M.NICOD, tremblant de colère (il était en face de moi et j’ai été impressionné par la violence sous-jacente : ça m’a rappelé quand je distribuais dans les boîtes des invitations pour la kermesse avenue de la gare et qu’il s’est rué sur moi, façon Fangio, avec son énorme Land-Rover), menace de lever la séance si on lui parle sur ce ton. Le riverain lui réplique : « C’est trop facile ! ».
M.NICOD note que M.REYNAUD note.
M.NICOD : « On n’est pas des ennemis [double langage ou double injonction paradoxale compte tenu de la menace d’écrabouillement juridique par le beynolan avocat en fin de séance, conclusion d’une concertation-intimidation ou terrorisation, annoncée en début de séance par M.NICOD]. On est Beynolans. On est Français. »
Puis M.NICOD sort ses mantras : « C’est la faute à l’annulation du PLU [par ses copains !]. C’est compliqué. » avec une novation » On a eu tort. On aurait du réunir le secteur. »
M.NICOD procède à un tour de table des soucis.
La réponse est : trafic trop intense et trop rapide. « On se fait klaxonner. On a des appels de phares alors qu’on est en zone 30 km/h ! »
Mme GIMENEZ mentionne l’accident subi par sa famille en 2002.
Mme MARLHINS mentionne qu’elle a ramassés des motards accidentés.
M.BERTHET évoque une circulation énorme.
« Les HLM vont renforcer la circulation. » selon un autre riverain.
L’ensemble des riverains évoque le problème lié à la circulation.
M.LOBO le riverain, qui avait évoqué ses problèmes de rendez-vous, indique qu’un sens unique avait été envisagé.
C.PEREZ paraît émue par les témoignages des riverains et mentionne qu’elle connaît le quartier.
Me MEUSY évoque le problème de la ligne droite. Pour lui, il ne s’agit que d’incivilité ![à 130 km/h monsieur l’avocat ou avec une machoire enfoncée monsieur l’avocat ? Me MEUSY qui va se revendiquer beynolan connaisseur du secteur et qui se révèlera de facto surtout porte-flingue de M.NICOD, candidat aux élections municipales de 2014].
M.NICOD présente ses voisins élus et avocat. Me MEUSY se présente comme beynolan et avocat depuis 1987 [si c’est avocat de Beynost, y a-t-il eu mise en concurrence régulière ?]. M.NICOD indique que Me MEUZY va intervenir en fin de séance [la future terrorisation juridique finale était donc planifiée, elle pouvait se pressentir du fait de la présence d’un avocat].
M.NICOD : « On a vos soucis en tête, mais la condition, c’est de les satisfaire après les travaux [paradoxe et acharnement donc officiel, méticuleux et persévérant dans la mise en danger de la vie d’autrui]. »
Ensemble des riverains : « Il faut sécuriser avant les travaux ! » [ce qui paraît du bon sens].
M.NICOD : « Les camions de chantier vont passer. » [acharnement sadique du type retourner le couteaux dans la plaie ?]
M.LOBO : « C’est interdit aux plus de 3,5 tonnes ! ».
M.NICOD : « Ce sera autorisé pour le chantier. » [acharnement sadique du type retourner le couteaux dans la plaie ?]
M.NICOD : « La voirie est structurée dans le lotissement [c’est le terme qu’il utilise pour les HLM] pour éviter le trafic [on peut donc la réduire à 5m, 5,5m ou 6m, Monsieur NIEL pour rétablir un mail planté piéton cycliste de 4m sur le modèle de la percée verte de MM.BERTHOU et PROTIERE à Miribel !]. Une acquisition foncière est opérée pour améliorer la sortie [il est donc possible d’en faire pour prolonger le vaste mail planté piétons-cyclistes sur la portion ouest-est de la rue des Barronnières !]. »
Suite après le repas, la sieste et « Un jour, une histoire » sur M6 (ça a l’air trop mignon ! c’était très mignon en effet), plus aller chercher des granulés pour le chauffage, toutes mes excuses pour le retard ! Bon, je suis bénévole.
Pour ce qui concerne le rond-point pour les camions, les riverains sont contre, compte-tenu des nuisances qu’ils vont subir. Pour eux : « Il n’y a pas de raison que les camions aillent plus loin que les entreprises. Les camions peuvent tourner chez l’ex-Relais pneus, France Air, Murgier… »
P.NIEL en remet une couche sur « Pas de travaux lourds avec le chantier ! ». [Qu’a prévu le projet Dynacité à près de 3000€/m2 pour sécuriser la rue des Barronnières durant le chantier ? Quelle concertation a eu lieu Monsieur le Président du conseil général dont Dynacité est une dépendance ?]
Pour les riverains, ce sont les « trottoirs », obtenus à la hussarde par une entreprises, qui ont induit les inondations.
M.LOBO mentionne qu’il a pris des photos de la circulation des poussettes, reconfirme qu’il n’a eu aucune réponse au téléphone sauf reculer de 5m. D’autres ont eu des bateaux, pourquoi pas la rue des Barronnières [eh, oui ! Beynost, c’est deux poids, deux mesures : un stop létal pour les Jacquetières, tout de suite une chicane pour le Château du Soleil !].
M.NICOD reconfirme son refus de travaux de sécurisation qui seront détériorés par le chantier [n’a-t-il rien prévu avec Dynacité à 3000€/m2 ?]. est consciente de la dangerosité du secteur. Son projet de juin 2012 comporte un plateau ralentisseur à 40m au sud du tournant le plus au sud-est, mais rien dans la baïonnette elle-même.
M.LOBO indique qu’il y a 5 ans qu’on lui dit en mairie : « on s’en occupe. ».
B.REYNAUD indique à M.NICOD que le problème est d’évacuer le transit, de réserver la rue des Barronnières à la desserte locale, comme la rue du Viviers.
M.BERTHET souligne qu’il y a des bouchons.
B.REYNAUD informe que les riverains signalent que les piétons venant du parking sud bloquent les voitures sur la voie-ferrée et qu’il va y avoir des morts comme à Maurepas dans les années 1975 où des enfants de plusieurs familles coincés avec une mère sur la voie ont été massacrés par le Paris-Chartres ou le Chartres-Paris.
Pour M.NICOD 27 logements en plus ne posent pas de problèmes.
Une riveraine signale le passage de cars.
M.NICOD se déclare au courant.
Mme GIMENEZ confirme la dangerosité de la rue des Barronnières.
Une riveraine demande que le retournement des camions soit plus au sud.
M.NICOD mentionne : « On maîtrise pas le domaine privé. » [que maîtrise-t-il avec son mantra « C’est compliqué ! » ?]
M.LOBO demande de mettre un arceau bloquant les gros véhicules [ce qui paraït une idée très intéressante : cf le quai St Clair à Lyon].
M.ENJOLRAS demande de bloquer les camions au rond-point.
Pour M.NICOD, c’est impossible à mettre en place [pour M.NICOD tout est impossible… sauf densifier Beynost à outrance sur ses propres opérations… mais c’est de la faute du préfet !].
Un riverain demande d’implanter des ralentisseurs.
M.NICOD indique que grâce au radar les vitesses sont connues (130 km/h ? j’avais mémorisé 110 !]
M.NICOD commence sa grande danse des Sept Voiles sur ses malheurs liés à l’annualation du PLU [par ses copains !+ l’extension du cimetière qu’il aurait pu annuler dès son arrivée… MAIS SON OBJECTIF EST DE SORTIR SES HLM APRES LES ELECTIONS].
M.NICOD signale, de façon étonnante et étrange, que dans son impasse il n’aura jamais ce genre de souci.
M.NICOD brandit la menace d’un PLU intercommunal. B.REYNAUD répond que ça ne peut alors que mieux marcher.
Le riverain qui a demandé des ralentisseurs, demande la sécurisation durant les travaux.
Les riverains confirmant leur souhait de maintien du mail planté piétons-cyclistes y compris devant chez eux par report de la voie vers le sud, P¨.NIEL présente « une étude CCMP » faisant passer le « vaste mail piétons-cyclistes » par la rue Grange Debout [ce qui viole carrément l’OAP Château du Soleil-Terres Ligues ! bon, un PLU intercommunal devra lui faire l’objet d’une vraie concertation par les porteurs de la percée verte de Miribel, vrais pros de l’urbanisme et non pas déconstructeurs de Beynost version sadomaso]. B.REYNAUD mentionne que c’est une solution au rabais. B.REYNAUD reconfirme qu’en ville nouvelle les mails plantés piétons-cyclistes passent au cœur des zones d’habitat qu’ils structurent [exactement comme la Percée Verte de Miribel admirablement gérée par BERTHOU et PROTIERE SUR 12 ANS ! Voilà des élus compétents et décidés !].
Les riverains déclarent qu’ils ne sont pas opposés aux HLM mais demandent une mixité interne au projet.
Mme GIMENEZ indique que la situation n’est pas supportable.
M.NICOD mentionne que ce n’est pas le seul secteur [qu’a-t-il donc fait durant 5 ans 1/2 ?].
Le riverain qui a demandé les ralentisseurs et la sécurisation du chantier, indique qu’il y a des problèmes de sécurité tous les jours pour les vélos.
B.REYNAUD demande de faire le plateau sud tout de suite., déclare que le projet de C.PEREZ, centré sur la réfection et la mise au norme de la voie, ne traite pas le problème de sécurité de la baïonnette, ne règle pas le problème de fond de la densité du trafic et de son détournement. B.REYNAUD demande que le problème de sécurité soit réglé avant les élections et le chantier [puisque le chantier suit immédiatement les élections selon P.NIEL dans La Côtière !].
M.NICOD évoque un feu [il a évoqué lors d’une réunion publique un sens unique].
Me MEUZY [qui s’est présenté comme beynolan, et joue de facto le rôle de porte-flingue de M.NICOD] taxe B.REYNAUD [élu d’opposition le plus actif et représentant de Beynolanes et de Beynolans à hauteur de plus de la moitié des électeurs du maire !] d’outrecuidance.
B.REYNAUD lui rappelle qu’il a eu droit à un avertissement en conseil municipal pour avoir insisté, au titre de la responsabilité légale du maire en matière de circulation, sur les problèmes de sécurité à la sortie du Leclerc, livraisons de voiture et remorque abandonnée timon à l’horizontale sur la voie de branchement à la sortie nord-est du Leclerc [l’outrecuidance, c’est que le maire et son adjoint à la sécurité aient répondu à répétition des « Téléphonez à la gendarmerie ! », alorsque ce 14/11/13 M.NICOD ve reconnaître que la sécurité est de la responsabilité du maire, ce que le préfet confirme par son courrier aux riverains], qu’il a été interompu à répétition lors de son exposé sur le PADD en conseil municipal et qu’en matière d’outrecuidance il a eu plus que sa dose. [Cette intervention de Me MEUZY, façon commissaire politique et censeur du déviationnisme, est totalement inadmissible : elle préfigurait la terrorisation juridique finale façon DUPONT-MORETTI versus les enfants d’Outreau]. B.REYNAUD l’informe que M.NICOD, après avoir abordé de lui-même le sujet du recours au Tribunal Administratif pour le PC de Dynacité lors du dernier conseil municipal, l’a menacé en ces termes suivants : « Monsieur REYNAUD, vous gérez votre risque ! ».
Devant l’ensemble des participants à la réunion, M.NICOD confirme qu’il a bien dit en conseil municipal : « Monsieur REYNAUD, vous gérez votre risque ! » [et ceci alors que Me MEUSY reconnaît, lui, que les motifs de B.REYNAUD sont nobles !]
P.NIEL indique que la SNCF reconnaît que le passage à niveau est accidentogène.
M.NICOD reconnaït que la sécurité est de la responsabilité du maire [qui n’a rien fait concrètement depuis 5 ans 1/2, en dehors d’un projet de ralentisseur à 40m au sud et non programmé à ce jour, mais B.REYNAUD et P.FELIX demandent en vain, à répétition, en conseil municipal, une programmation, depuis l’audit PWC]
M.LOBO indique que France Air a obtenu des « trottoirs » en un RAR, sans qu’il en soit parlé à personne. Il évoque le problème des handicapés.
M.NICOD CONCLUT : « ON VA REGARDER POUR POSER DES RALENTISSEURS. » [regarder seulement? sans nouvelles sous un mois, je propose un tract dans toutes les boîtes de Beynost, à la façon de M.NICOD au temps jadis]. M.NICOD EVOQUE UNE SOLUTION RAPIDE PRECAIRE POUR CASSER LA VITESSE
La riveraine située en face de lui insiste : « Et le mail planté ! ».
Une riveraine reconfirme la demande des riverains de reporter le retournement des camions plus loin au sud.
Lors de la réunion M.NICOD, officiellement candidat aux municipales depuis juin et candidat unique selon Le Progrès, a taxé les riverains d’être opposés aux HLM (ils ont démenti formellement] et de manœuvre électorale (ils ont démenti formellement). M.NICOD a harcelé sur le même thème à plusieurs reprises la riveraine située en face de lui et ceci jusqu’à l’extérieur de la mairie. Plusieurs riverains l’ont constaté. Me MEUZY vous êtres prié de mettre immédiatement fin à ce harcèlement de M.NICOD.
M.LOBO précise bien : « Personne n’est opposé au lotissement. On veut la sécurité ! ».
AU FINAL, SEQUENCE ANNONCEE DES LE DEBUT DE LA REUNION PAR M.NICOD, Me MEUSY ANNONCE A TOUS QU’IL VA NOUS ECRABOUILLER JURIDIQUEMENT AU TRIBUNAL ADMINISTRATIF, QU’IL EST LE PORTEUR DE LA LOI ET ENSEIGNANT A L’UNIVERSITE. Me MEUSY RECONNAIT CEPENDANT, DE FACON MAGISTRALEMENT PARADOXALE, QUE LES MOTIFS DE B.REYNAUD SONT NOBLES. M.NICOD PEINE A ESSEYER DE RECTIFIER CETTE RECONNAISSANCE.
B.REYNAUD indique que seule la voie communale, mentionnée sur le panneau de permis de construire, est concernée et qu’il est parfaitement possible de réaliser 4m de mail planté piétons-cyclistes et 5m, 5,5m ou 6 m de voie roulante selon le trottoir souhaité côté est. Un PC rectificatif pouvait être déposé dès le 6 juin 2013… dans l’esprit de l’écologiste DUFLOT et dans la ligne de M.NICOD qui vient de dire en réunion : « LA VOIRIE EST STRUCTUREE DANS LE LOTISSEMENT POUR EVITER LE TRAFIC. ».
En salle de réunion, le beynolan avocat de Beynost aborde de lui-même le sujet des réseaux francs-maçons et de leur interférence.
Commentaire final :
La concertation, après mea culpa du maire pour le caractère tardif de celle-ci, et après des insinuations douteuses sur les motivations anti-HLM ou électoralistes des riverains, se termine donc en séance sadomaso d’intimidation, selon une méthode bien connue et éprouvée à Beynost de longue date, et Me MEUSY est l’exécuteur de cette terrorisation. Eh bien, c’est tout simple, il n’est pas DUPONT-MORETTI et nous ne sommes pas les enfants d’Outreau.
La réponse est toute simple : le vaste mail piéton-cycliste est un engagement moral et juridique (les promoteurs sont punis pour publicité mensongère) du PLU, du PADD, des OAP et du règlement. Les arguties juridiques pour argumenter sa suppression, inexplicable au niveau du bon sens, sont le support d’une démarche de type perverse parfaitement définie par RACAMIER.
Supprimer le mail planté péton cyclistes, et accompagner cette suppression par des arguties et des ergotages juridiques, relève d’un système pervers (cf RACAMIER), par rapport aux percées vertes et aux mails plantés piétons-cyclistes de Miribel, de Rillieux, de Monchat (référence de M.NICOD) et peut-être de Décines.
A Beynost, il est rigolo de voir la superbe piste cyclable venant de La Boisse disparaître… devant chez Me MEUSY, l’écraseur juridique autoproclamé de Beynolanes et de Beynolans, payé (depuis 1987 ?) par nos impôts, et de constater combien la promesse de 2008 de M.NICOD de sécuriser l’accès piéton au Leclerc le long de la bretelle de l’autoroute est passée à la trappe.
Tout ceci, au niveau du bon sens, est ubuesque, burlesque et clownesque, et ne comporte comme seule explication logique que le fait que Beynost est un système pervers centré sur primum nocere.
L’avocat beynolan de Beynost a évoqué de lui-même le fonctionnement en réseau franc-maçon.
Ces gens se moquent des Beynolanes et des Beynolans et s’amusent à la façon de gamins de 8 ans arrachant les ailes des sauterelles ou des deux vieux de Scènes de ménage de M6.
[Rappel : selon RACAMIER, la seule façon de faire avec un système pervers non boycottable, c’est de le mettre en boîte.]
beynost 